serge gainsbourg
posts displayed by tag
Salut la grande sauterelle…
août 28 2017Mireille Darc, actrice et chanteuse au carré blond (elle qui était née brune) et à la chute de rein fantasmatique est morte cette nuit à 79 ans. L’égérie de Lautner fut aussi la muse de Gainsbourg, qui l’embarqua dans son « Hélicoptère » en 1968. Un morceau à retrouver sur la compilation « Compartiment 23″.
Faites un (33) tour(s) dans les trésors de l’INA
mai 05 2017L’Institut national de l’audiovisuel , repaire passionnant des archives de la télé française, accessible au public en ligne, continue l’exploitation de ses pépites. Cette fois, il branche le son : en association avec la plateforme participative de pressage de vinyle Diggers Factory, l’Institut édite pour la première fois des inédits d’artistes sur vinyle, dans la collection « 33 tours avec l’INA ». Les fans de chanson française et de jazz peuvent d’ores et déjà pré-commander sur le site de Diggers Factory des 33 tours inédits de Serge Gainsbourg – ses premiers concerts à la radio française - ou de Ray Charles et son big band en concert au Palais des sports en octobre 1961 (25 euros le disque).
L’occasion aussi de découvrir Diggers Factory, plateforme française qui permet aux artistes, labels et ayant-droits de produire ou rééditer des vinyles, en réunissant suffisamment de précommandes avant de lancer le projet.
ECOUTEZ LE CONCERT DE RAY CHARLES AU PALAIS DES SPORTS EN 1961
La Bambou de Gainsbourg et Chamfort revisitée par Pilooski
fév 04 2016Cover
Un jour / Un son : “Bambou (Pilooski Reprise)”. La plupart de ses tubes fêtant au moins leurs 30 ans cette année, Chamfort a décidé de les confier à la scène électro-frenchy pour un lifting chic et pas cher. Sur l’album “Versions revisitées”, on retrouve donc Jennifer Cardini, Chloé, Scratch Massive, Krikor ou Ivan Smagghe (pour un “Manureva” déstructuré). Mais c’est Cédric Marszewski alias Pilooski qui se révèle le plus convaincant en reprenant le “Bambou” offert à Chamfort par Gainsbourg, pour son album “Amour année zéro” (1981). Finis les synthés 80′s et les cuivres exotiques en plastique, place à un beat au ralenti et à un chant moite. C’est Gainsbourg au Baron.
POUR blind test de bobo.
Nouvel album “Versions revisitées” (Le Label/Pias) disponible.
Photomatons de Bambou par Gilles Blanchard