Destroyer, joyeusement barré
juil 09 2015Un jour / Un son : “Dream Lover”. Ces trompettes vaillantes, cette voix lazy, cette batterie au tempo crescendo, mais oui, les Boo Radleys sont de retour… Ah non, c’est Dan Bejar, le Canadien velu qui se cache derrière Destroyer (on le retrouve aussi avec les New Pornographers et Swan Lake depuis quelques années). C’est joyeusement barré. Dansez hilare, avant que le soleil se couche.
Nouvel album “Poison Season” (Merge Records) disponible le 28 août.
En concert le 29 octobre au Pitchfork Music Festival, avec d’autres barrés, Godspeed You ! Black Emperor, Beach House, Ariel Pink…, Grande Halle de La Villette, Paris 19.