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Avec Bleached, la riot girl est l’avenir du rock
avr 02 2016Pop punk
Un jour / Un son : “Wednesday Night Melody”. Nos riot girls préférées de L.A., soit les frangines Jennifer et Jessie Clavin, accompagnées de la bassiste Micayla Grace n’ont pas perdu la martingale de leur pop punky (et vice versa) sur leur deuxième album très attendu après les promesses nées du premier. Si vous aimez tout autant les L7 et les Dum Dum Girls, alors écoutez Bleached. Et rappelez-vous : la riot girl est l’avenir du rock.
POUR défiler les mains en l’air.
Nouvel album “Welcome The Worms” (Dead Oceans) disponible.
Playlist ezik #122 : Diable, le Hellfest a 10 ans !
juin 18 2015Avec Hellfest, la fête est plus folle. Ce sera sans doute la plus grande kermesse festivalière de l’été. Pour arroser ses 10 ans, Hellfest, “le festival des musiques extrêmes” organisé à Clisson, à proximité de Nantes, a réuni un casting monstrueux et vintage (c’est sans doute dans les vieux fûts en métal qu’on fait les meilleures bières…) : Body Count (1990), Judas Priest (1968), Alice Cooper (1975), ZZ Top (1969), Motörhead (1975), Marilyn Manson (1989), L7 (chouette des filles, 1985), Dead Kennedys (1978), The Exploited (1979), Billy Idol (1977)… Comme c’est complet depuis perpète (les organisateurs attendent 150 000 bêtes à cornes et à pintes venu(e)s se désaltérer au pipeline de bière en brandissant index et auriculaire), ezik vous offre sa playlist dédiée. Attention bien sûr aux effets secondaires même si on vous a évité Prostitute Disfigurement, Necrowretch, Mutilation, Infestus ou les fameux Ramoneurs de Menhirs de Loran, un ancien Béru…
Bonus infos : Hellfest, du 19 au 21 juin, à Clisson (44).
Deap Vally, miam, revoilà des riot grrl
mai 10 2013Salut les punkettes. Le plus drôle dans le duo de Lindsey Troy (guitare blues en rogne et voix hurleuse), et Julie Edwards (batterie couillue) c’est que ces deux sauvageonnes californiennes se sont rencontrées à un cours de couture ! Depuis leur premier single l’été dernier, “Gonna Make My Own Money”, les Deap Vally ne rigolent plus, reprenant à leur compte le son brut, les revendications féministes et les tenues trash des Bikini Kill, L7 ou Sleater-Kinney qui clouèrent le bec aux punk rockers poilus dans les années 1990. Les revoilà avec “Baby I Call Hell”, un ptit tube d’été énervé.
Premier album “Sistrionix”, le 24 juin.