festival art rock
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Bombay le torse, Bombay
mai 06 2016Indie rock
Un jour / Un son : “Slow Motion”. Ce Bombay-là est néerlandais, amstellodamois même. Né sur les cendres de Bombay Show Pig, le précédent groupe du guitariste et chanteur Mathias Jamaat. Et si vous on vous en cause ici et maintenant, alors que leur album est sorti en février, c’est que Bombay (avec Gijs Loots à la basse et la batteuse Lisa Ann Jonker) débarque en France pour une série de concerts (voir ci-dessous) et qu’il est temps d’aller vérifier ce que vaut leur rock aux influences tous azimuts (grunge, rave…) et assez inégal. Dans leur pett tourbillon, émergent sans forcer la ballade sous LSD “Get Lost in the Shuffle” et ce “Slow Motion” à la morgue digne de Kasabian.
Nouvel album “Show Your Teeth” (V2) disponible.
En concert ce soir 7 mai au festival Fête de l’Europe, sur le Parvis de l’Hôtel de ville, Paris 1er, le 12 mai à Savigny-le-Temple (77), le 13 mai au festival Art Rock, Saint-Brieuc (22), le 19 mai à Saint-Germain-en-Laye (78), le 10 mai au festival Papillons de nuit, Saint-Laurent-de Cuves (50), le 26 mai à Saint-Ave (56), le 28 mai à La Rochelle (17), le 3 juin au festival Aucard de Tours (37), le 5 juin au festival Europa Vox, Clermont-Ferrand (63), le 16 juillet au festival Le Murmure du son, Eu (76), le 22 juillet au Festival de Poupet, Saint-Laurent-sur-Sèvre (85).
Thomas Howard Memorial, dans la quatrième dimension de Pink Floyd
mai 02 2016Rock psychédélique
Un jour / Un son : “Rupture”. Thomas Howard fut le pseudo du célèbre hors-la-loi de l’Ouest américain, Jesse James. Le Guingampais Yann Ollivier (croisé comme batteur dans le Craftmen Club) l’a repris à son compte pour donner un nom à son nouveau groupe, quatuor ambitieux dont il est tout à la fois auteur, chanteur et guitariste. Rien que ça. Et en plus, il relève ce défi fou avec une originalité, qui met une sacrée claque à la nuée de groupes français copiant-collant maladroitement le meilleur du rock américain ou anglais. Le Thomas Howard Memorial s’inspire lui de Pink Floyd, dont il revisite la quatrième dimension psychédélique et mélodique (comme le prouve notamment le titre “Rupture”). En hommage au génial « Live at Pompeii” (1972) de la bande à Waters, THM a même joué en live et sans public son premier album “In Lake”, dans le lac exceptionnellement asséché de Guerlédan. Une expérience de “land music” teasée ici.
POUR fans de Pink Floyd, des San Franciscains de Wooden Shjips ou des Suédois de Goat.
Premier album “In Lake” (Upton Park Publishing) disponible.
En concert le 20 mai à Trévou-Tréguignec (22), 1er juin à l’International, Paris 11, le 2 au Silencio, Paris 2, le 3 à Goméné (22), le 4 à Boquého (22), le 16 à Rennes (35), le 21 juillet à Plouha (22), le 22 à Pontrieux (22) et le 19 août à Pédernac (22).
Projection du “Live at Guerlédan” le 15 mai au festival Art Rock, Saint-Brieuc (22), puis dispo sur Arte Concert.