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Dolores Haze, quatre riot Lolita
nov 17 2015Un jour / Un son : “The Haze Is Forever”. Groovy Nickz (voix et basse), Groovy Fuck (guitare), Lucky Lollo (guitare) et Foxy Sagz (batterie), les quatre Lolita trash de Dolores Haze émergent de l’undergound de Stockholm (leur pseudo est emprunté à la “Lolita” de Nabokov). Pas pour allumer les vieux messieurs salissants mais pour renverser les jeunes gens trop propres sur eux à grands coups de guitares, dont elles savent aussi jouer à la façon pop. Entre Bikini Kill et Charli XCX. A suivre…
Premier album “The Haze Is Forever” (Woah Dad) disponible et à écouter ci-dessous.
The Julie Ruin, des barjots pas frigides
juin 15 2013Un jour / Un son : “Oh Come On”. Au moment gênant où Aznavour tremblote en smok à côté de Johnny sur la scène de Bercy, il est plus que temps de laisser le micro aux riot grrrls de The Julie Ruin qui râlent encore, collants déchirés, guitares en avant et voix de mégère impossible à apprivoiser. Celle de Kathleen Hanna en l’occurrence qui, comme chef d’émeute de Bikini Kill dans les année 1990, fut une des pionnières du mouvement riot. Une vraie Barjot pas frigide.
Premier album “Run Fast”, le 3 septembre.
Deap Vally, miam, revoilà des riot grrl
mai 10 2013Salut les punkettes. Le plus drôle dans le duo de Lindsey Troy (guitare blues en rogne et voix hurleuse), et Julie Edwards (batterie couillue) c’est que ces deux sauvageonnes californiennes se sont rencontrées à un cours de couture ! Depuis leur premier single l’été dernier, “Gonna Make My Own Money”, les Deap Vally ne rigolent plus, reprenant à leur compte le son brut, les revendications féministes et les tenues trash des Bikini Kill, L7 ou Sleater-Kinney qui clouèrent le bec aux punk rockers poilus dans les années 1990. Les revoilà avec “Baby I Call Hell”, un ptit tube d’été énervé.
Premier album “Sistrionix”, le 24 juin.