L’électronica dansante et frenchie d’Abstraxion
nov 25 2013 · 0 comments · Un jour / Un sonUn jour / Un son : “Rising”. Harold Boué, alias Abstraxion, 28 ans, se partage entre Marseille et Londres, deux villes à mille lieues l’une de l’autre, où il trouve matière à composer son électronica planante (“Break of Lights”), aride (“Goodbye”), et presque dansante à l’occasion, comme sur ce “Rising” qui n’est pas sans rappeler le meilleur d’Underworld.
Premier album “Break of Lights”
Abstraxion “Rising”