Iggy Azalea, Barbie fait du rap (explicit content)
mar 18 2013 · 0 comments · DiversPlaylist vidéo. Iggy Azalea, à ne pas confondre avec Azealia Banks, est venue au monde il y a vingt-deux ans à Sydney, en Australie, mais a grandi dans l’immense ferme de son père dessinateur de BD, à Mullumbimby, berceau de la contre-culture des seventies (Nouvelles Galles du Sud). Là, à défaut de croiser Mad Max, Amethyst Amealia Kelly, de son vrai nom, s’encanaille en écoutant très tôt le rap de Tupac Shakur et le R&B des TLC. Elle monte même un éphémère trio de rappeuses à 14 ans. Deux ans plus tard, elle fait croire à ses parents qu’elle part quelque temps en vacances au pays du rap, son Amérique à elle. Elle n’en est toujours pas revenue. Miami, Houston, Atlanta, la blonde girl se cherche avant de se poser à Los Angeles. Avec son surnom bitchy, son booty de mannequin (elle a signé récemment un contrat avec Levi’s), ses cheveux blonds de Barbie, ses saillies à base de pu$$y n $hit et son flow sexy, elle publie ses premiers freestyles en ligne, puis une mixtape, “Ignorant Art” (“My World”, “Pu$$y”, “Dirt In Your P…y Ass Bitch”) et enfin se fait repérer par le rappeur T.I.. Il doit produire son premier album plusieurs fois reporté et attendu pour l’été. Son titre ? “The New Classic”. Ni plus ni moins. Qu’elle n’attende pas trop longtemps quand même, parce que sa trap music, le flow du rap avec les beat de l’electro (pas très loin du dubstep donc), a sans doute un avenir limité. Heureusement, il reste son body language accessible à tous.