Playist ezik #93 : O Pais Tropical

Le BRAJIL ce n’est pas que le maillot de Socrates que t’as chiné 500 réals sur ebay, ce n’est pas que la samba botoxée, ce n’est pas que Christian Jean-Pierre avec une perruque jaune et verte, ce n’est pas que Chico Buarque en bande-son d’une pub Schweppes, ce n’est pas non plus que le sourire mielleux de Pelé, ce n’est pas seulement la fille d’Ipanema ou des hectolitres de caïpirinha… Non, le BRAJIL c’est aussi un cocktail de musiques affolantes, du tropicalisme à l’électro-rap, en passant par le meilleur du garage ou de la dance de plage. Sélection championne du monde, pour vous servir.

Photo de Ronaldo de Assis Moreira alias Ronaldinho, 10 ans, avec le maillot de “son” club, le Gremio Porto Alegre.

Playlist ezik #92 : Voilà l’été

L’été nous fait de l’œil, alors voici une bande-son inattendue pour l’accompagner. Avec du sun, des femmes violentes, le meilleur rivage, une île au soleil, de la danse pieds nus, la plage de Rockaway et l’affolante Margarida. Sexy demain !

Playlist ezik #91 : Pop & Foot

Titi & Grand Mimi. On va vous parler d’un temps où Thierry Roland était omniprésent. Ce gars-là, né à Boulogne-Billancourt en août (mois de la reprise en Championnat) et mort à Paris en juin (mois d’ouverture des Coupes du monde) nous a bercés, enflammés, amusés, exaspérés et finalement accompagnés pendant quinze ans, en gros du 8 juillet 1982 à Séville au 12 juillet 1998 au Stade de France. A cette grande époque, qui débuta par des pleurs amers et se conclut par des larmes de joie, Thierry Roland, langue et clichés bien pendus, fut lui-même flanqué du premier consultant vedette, Jean-Michel Larqué. Qui pleura comme un enfant quand Titi s’envola le 16 juin 2012. Dans l’émouvant “Lettre à Thierry”, Larqué raconte ses souvenirs au côté de son duettiste. Leurs tout premiers dîners en 1978 dans le club de la chanteuse Dani à Paris, la demi-finale France-RFA en 1982 à Séville qui a « scellé leur alliance”, les drames du Heysel et de Furiani, la finale gagnée en 1998, les albums Panini de Titi, son “petit bonhomme” de 1986 ou le “Basilou” de 1993. Larqué n’a rien oublié, nous non plus.
Alors quand vous lirez “Lettre à Thierry”, écoutez donc notre Playlist Pop & Foot, avec du Thierry Roland dans le texte, Pelé, Ronaldinho et Waddle, des hymnes british mythiques, des tubes pop de stade et même deux titres qui rendent hommage à Zidane.

Bonus vidéo vintage : le générique de fin de Téléfoot présenté par Pierre Cangioni le 4 novembre 1977, à mater ici.

A LIRE  : “Lettre à Thierry, souvenirs et coups de gueule” de Jean-Michel Larqué, avec Hugues Berthon (auteur du blog Le Bruit des crampons) et Jean Rességuié, éd. du Toucan, 220 p., 13,50 E.
et “Petit Manuel musical du Football”, de Pierre-Etienne Minonzio, éd. Le Mot et le reste, 271 p., 20 E ; avec nos remerciements pour la sélection musicale pointue…

A VOIR : La Lucarne, le festival du film de football du 3 au 8 juin, à Paris, parrainé par Stéphane “Les Yeux dans les bleus” Meunier et intronisé par Hervé Mathoux. Au programme, courts et longs-métrages dont “The Lost World Cup” et concerts.

Playlist ezik #90 : Le festival de B.O.

SPECIAL FESTIVAL DE CANNES 2014. Klaus Nomi dans “A nos amours”, Bauhaus dans “Les Prédateurs”, l’appel de nuit de Kavinsky pour le driver Ryan Gosling, Nina Simone et Steve McQueen, les Gipsy Kings et le “Big Lebowski”, Frank Black et Brad Pitt dans le “Fight Club”, Roy Orbison en “Blue Velvet”, Cosma et sa “Soupe aux choux”, que des bons souvenirs non ? Voici donc une cinéphilie pop résumée en 43 chansons ou thèmes. Ce soir, faites vous une B.O.

La liste de tous les morceaux de la Playlist et les titres des films correspondants est ici

Merci à Arte.tv

Playlist ezik #89 : Eurostars

Zappez l’Eurovision à barbe, et prenez votre billet gratuit pour Eurostars, la playlist ezik qui fait le tour des charts d’Europe en temps réel. Où l’on (re)découvre que l’Euro Dance Music (EDM) dont on vous causait dans la Playlist Dutchissime, fait des ravages, tout comme la mondialisation (Calvin Harris, Rather Be, Jess Glyne, Faul, Bakermat, Mr Probz…). Même chez nos amis anglais dont tous les groupes qu’on aime n’ont pas le droit au UK Top Singles 40. Où l’on découvre aussi que la “Dernière danse” d’Indila apprend le français aux Bulgares qui aiment aussi la “Moita Muzika” de Divna, que la folk pleureuse du jeune Anglais George Ezra (“Budapest”) aura cartonné partout avant d’envahir la France, que Hedegaard plaît aux Danois et que l’improbable Hélène Fischer enflamme l’Allemagne. Et pendant ce temps-là, en France, Indila, les Prêtres et Pat Sébastien sont en tête. A chacun ses problèmes.

Il faut sauver le MIDI festival

Appel à la population, avec ou sans barbe. “Chères festivalières, Chers festivaliers, comme beaucoup de festivals musicaux ont pu le vivre à un moment donné de leur existence, le MIDI festival connait cette année des difficultés financières majeures. (…) Ces difficultés mettent en péril l’existence même du festival.” Voilà comment Frédéric Landini, fondateur et co-programmateur de ce raout chic et pointu , accueille les festivaliers sur le site du MIDI. Lui et son équipe ont donc allégé la programmation 2014 et l’ont concentrée dans le cadre unique de la Villa Noailles. Ce qui n’enlève rien à la qualité des groupes invités (François & The Atlas Mountains, Panda Bear, Merchandise ou Childhood ont déjà signé, avant d’autres à venir) et à l’ambiance inégalable de ce festival sous les pins de la Villa des Noailles, avec vue sur la Grande Bleue pendant les concerts sur le toit terrasse (n’est-ce pas Cheveu ?!). Cet été, faites donc un détour par Hyères.

Vous pouvez réserver votre week-end des 25 et 26 juillet au MIDI Festival, Villa Noailles, à Hyères (83) sur le site officiel

Playlist ezik : Casque d’or #16 spéciale Sex & Songs

19 sur 19. Au programme de notre playlist Casque d’or cette semaine, pas 10 pépites comme d’hab’, mais carrément 19, parce qu’on en avait trop envie. Allongez-vous donc aux sons sensuels d’un Ghanéen chaud bouillant, du Pelvis royal, de la Supreme Diana, des divas Nancy et Donna, d’un p’tit Louis au baiser brûlant, de l’amour en plein Air, d’une machine sexy funk, d’un esclave du love, de Portes très ouvertes, d’un soulman so sweet, d’une larme de plaisir ou encore Parce que la nuit appartient aux amants, et qu’un Sexe en feu peut faire fondre le Sucre brun. Mais si ! Mesdames et messieurs, faites le sexe, vous êtes casqués !

1- Rob “Loose Up Yourself” (1978)
2- Elvis Presley “Fever” (1960)
3- Diana Ross “Love Hangover” (1976)
4- Nancy Sinatra & Lee Hazlewood “Summer Wine” (1967)
5- Donna Summer “Love To Love You Baby” (1975)
6- Lil Louis “French Kiss” (1989)
7- Air “Playground Love” (2000)
8- James Brown “Sex Machine” (1975)
9- Bryan Ferry “Slave To Love” (1985)
10- The Doors “Light My Fire” (1967)
11- Donna Summer & Giorgio Moroder “I Feel Love” (1977)
12- Otis Redding “Try A Little Tenderness” (1966)
13- Massive Attack feat. Elizabeth Fraser “Teardrop” (1998)
14- Sébastien Tellier “La Ritournelle” (2004)
15- Patti Smith “Because The Night” (1978)
16- Handsome Boy Modeling School feat. Roisin Murphy & J-Live “The Truth” (1999)
17- Kings Of Leon “Sex On Fire” (2008)
18- The Rolling Stones “Brown Sugar” (Live 1978, original en 1971)
19- Elvis Presley “Trouble” (1958)

Photo Arte.tv

Bonus télé : Découvrez la série doc “Sex & Music, de la pilule au sida” en quatre volets sur Arte, tous les samedis jusqu’au 24 mai, à 22.45 env.

Playlist ezik #87 : Dutchissime Dance Music !

Gouda(nce) Style. Quand le vénérable Monde se fend d’une presque pleine page sur une tendance musicale interdite aux plus de 20 ans (lire le numéro du week-end 26-27 avril), c’est que :
1- La tendance est déjà morte et on est en train de passer à autre chose
2- La tendance est devenue phénomène incontournable même pour les grandes personnes qui lisent Le Monde
Si tu as coché réponse 2, tu as (beaucoup?) plus de 20 ans mais tu gagnes un filet garni avec l’intégrale des singles de Showtek, un mix de deux heures de Hardwell, un poignet en éponge Martin Garrix et une meule de Gouda. Sans le savoir, tu es un fan d’Electronic Dance Music (EDM), cette version bâtarde et stroboscopique de techno très en vogue dans l’autre pays du fromage, et qui fait danser dans le monde entier des millions de gamins extatiques devant des DJ hollandais, superstars et millionnaires du genre. Dans le désordre, Hardwell, le duo de frangins Showtek avec qui la sangsue Guetta vient de se maquer (“BAD”), Martin Garrix bientôt 18 ans, Tiësto, Sunnery James & Ryan Marciano, R3HAB, Afrojack, Armin Van Buuren et même les Bingo Players. Que du (ba)lourd que vous allez kiffer cet été à Rimini, Ibiza ou Fécamp. YOU ONLY LIVE ONCE comme disait Micheline Dax.

Playlist ezik #86 : We love Chipmusic

Jeu de garçon. La Chipmusic qu’est-ce que c’est ? C’est une musique électronique low-tech bidouillée en général par des garçons geeks, punks et joueurs, qui se servent de la puce (chip en anglais) de consoles vintage, principalement la Game Boy de Nintendo, pour composer des morceaux en 8 bits. Ils vous feront immanquablement pensé à vos parties de “Commando ski” sur Commodore 64 ou de Pac-Man sur Game Boy. Basique, ludique, frénétique… cette musique est aussi politique comme le montre très bien le docu “Europe in 8 Bits” de l’Espagnol Javier Polo. Les adeptes de 8 Bit music se considèrent pour la plupart comme des cyberpunks en rebellion contre  la technologie moderne et l’aliénation à la machine. “On ne joue pas avec la Game Boy, on la fait vivre”. Leur recyclage ludique leur sert aussi à lutter à leur façon contre l’obsolescence programmée des joujoux high-tech. Tout un programme à écouter grâce à notre Playlist qui réunit d’abord les meilleurs artistes du genre puis des reprises de tubes en version chip (idéal pour un blind-test entre amis).

Bonus vidéo 1 : “Europe in 8 Bits” de Javier Polo à acheter et mater par ici

Bonus vidéo 2 : “Pixels”, le génial très court-métrage d’animation de Patrick Jean (2010) qui imagine l’invasion de New York par des Space Invaders, Pac-Man ou Tetris à (re)voir ici

Playlist ezik #85 : Disquaire Day 2014

Demain samedi 19 avril, c’est Disquaire Day. LE jour qui vous permet de justifier l’achat de cette platine Technics MKII qui prend la poussière depuis trois mois dans votre salon. C’est aussi LE jour pour dégoter quelques raretés forcément incontournables parmi les 296 sorties en édition limitée. Si vous n’êtes pas pour autant décidé à faire la queue une heure devant la boutique de votre disquaire, qui d’habitude est vide comme le dernier album de Lady Gaga, ezik vous a sélectionné une Playlist spéciale Disquaire Day 2014, avec des Français barrés (De La Romance, The Rebels of Tijuana, Cobra), Temples et Jagwar Ma qui se font des mamours, des pépites trouvées par les Rough Guide (Bollywood, Mali…), un inédit house de notre chéri Illum Sphere, un souvenir des Dresden Dolls, “Hey Joe” par Charlotte Gainsbourg, “Heart Shaped Box” par Asgeir, le picture disc de rigueur et de David Bowie (“Rock’n'Roll Suicide”), entre autres joyeusetés. Enjoy !

Pour tout savoir sur le Disquaire Day partout en France, c’est ici

Playlist ezik#84 : Best of 2014 #1

Depuis le 1er janvier, 2014 a déjà pris trois mois (et demi) dans la canette, et vous avec, il est temps de vous rafraîchir la mémoire avec la Playlist de nos singles coups de cœur. Appréciation : Bon trimestre, ne relâchez pas vos efforts.

Playlist ezik#83 : Kurt Cobain never dies

Kurt Cobain n’est pas mort il y a vingt ans, le 5 avril 1994 (ou le 8, jour de la découverte officielle de son corps). Comme Elvis n’est pas mort le 16 août 1977.  Non, Kurt continue à vivre dans la peau et la tête de milliers d’adolescents qui, comme lui, grandissent mal dans des familles ou des villes cabossées. Ou dans la tête de leurs parents qui ont remisé chemises à carreaux et jeans déchirés, mais n’ont toujours pas cessé d’écouter “Smells Like Teen Spirit”, comme on rallume un feu. Notre Playlist du jour vous offre LA chanson, une de ses rares bonnes reprises par Patti Smith, et une interview rare elle aussi de Cobain, par Jon Savage, réalisée à l’été 1993, à New York.

Playlist ezik#82 : Daniel Johnston, tout un monde

Hi, How Are You ? Vous ne connaissez peut-être (sans doute) pas Daniel Johnston, et vous avez tort. Parce que ce vieux gamin américain de 53 ans, jamais remis d’un coup de foudre de jeunesse pour une Laurie indifférente qui hante aujourd’hui encore ses chansons déglinguées, pourrait bien devenir votre meilleur ami. Un ami qu’il vous faudra écouter avec attention, avec affection, mais sans compassion, même si la vie lui a filer de sacrées beignes. Vous entrerez ainsi dans son monde, peuplé de personnages du 3eme type, comme Jeremiah la grenouille ou Joe le boxeur trépané, des alter-ego qu’il dessine aux côtés de Hulk ou Captain America. Ces superhéros qu’il essaye à sa façon d’égaler depuis des années. Pour aller plus loin, visitez la rétrospective “Welcome To My World” qui arrive à Paris et écoutez notre Playlist.

Pour en savoir plus sur l’expo rétrospective “Welcome To My World” de Daniel Johnston, du 23 avril au 7 juin, Arts Factory Bastilles Paris 11, c’est ici

A lire : “The Definitive Daniel Johnston Handbook”, de Tarssa Yazdani, Soft Skull Press

Photo Peter Juhl, extraite d’une série magnifique à découvrir sur son site 

Playlist ezik#81 : Game of Thrones #4, oh my GoT !

Jeu dangereux. Cette nuit à 3 heures du mat, vous ferez quoi ? On sait, vous vous rongerez les ongles et les sangs en sachant que vos oncles d’Amérique sont en train de mater  le premier épisode de la quatrième saison de Gaaaaaame of Throooooones… En attendant qu’il soit downloadable (ouais on sait c’est pas bien c’est pour ça qu’on l’a écrit en franglais), écoutez donc notre playlist ezik dédiée, avec la chanson de la gothique Chelsea Wolfe, qui servait de bande-son au teaser de cette saison 4, le thème, illustre désormais, de Ramin Djawadi, “The Rains of Castomere”, la musique du 9 (les fans comprendront), un montage des morceaux composés pour les saisons précédentes et même des remix anecdotiques. Oh my GoT !

Bonus vidéo : la reprise smoothy-jazzy du thème principal par Scott Bradley et son orchestre à déguster ici

Playlist ezik #80 : The Simpsons et les rock stars (saisons 1 à 8)

Les Simpsons fêtent leurs 25 ans cette année. La famille la plus jaune et la plus anticonformiste des Etats-Unis s’est précipitée pour la première fois devant sa télé (et dans celle des Américains) le 17 décembre 1989. Très vite, Bart, Homer et Marge, les géniales créatures de Matt Groening, ont lancé des invit’ aux plus grandes stars de la musique anglo-saxonne, entrant de fait dans la grande histoire de la culture pop. Durant les huit premières saisons, Paulo, Ringo et George de Liverpool, Michael Jackson, les Red Hot, Aerosmith, Sting, Barry White ou Tom Jones ont donc fait le voyage à Springfield. Rencontres du troisième type résumées dans le premier épisode de notre Playlist ezik spéciale 25 ans des Simpsons. WHOU PINAISE !

Bonus vidéo : Pour le plaisir, voici le “couch gag” (générique de début des Simpsons qui se précipitent sur leur canapé) hommage à la série Game of Thrones (23e saison des Simpsons) à voir ici

Whyd, le réseau social qui agrège vos sons préférés

Bon les amis, on a découvert Whyd il y a quelques semaines, et on adore. Whyd, kézako ? Un nouveau réseau social, inventé par des Français et ouvert au grand public en début d’année, qui permet tout simplement d’agréger des chansons issues des plus grandes plateformes en ligne, telles que Soundcloud, YouTube, Dailymotion, Vimeo, Spotify et Bandcamp. Rien que ça. Objectif : constituer sans limites des playlists à streamer où on veut, quand on veut. Pour ajouter vos sons préférés à votre page dédiée, soit vous cliquez sur la fonction “Add Track” (bouton vert en haut à droite) en ajoutant l’url correspondant à la chanson, soit vous piochez un titre dans le moteur de recherche interne, soit vous installez le bouton Whyd sur la barre de favoris de Chrome, il vous suffit alors de cliquer dessus pour ajouter automatiquement un morceau que vous venez de repérer à une de vos playlists Whyd. 

Bref ezik sélectionne pour vous, Whyd agrège, et vous écoutez ! Trop facile.

Retrouvez la playlist ezik sur Whyd ici

Playlist ezik #79 : “Banshee”, B.O. de la série trashy

Pulp friction. Puisque vous en avez fini avec Rust et Marty, les deux True Detective chez les rednecks de Louisiane, vous avez rendez-vous à Banshee, en Pennsylvanie, bourgade hardcore, où cul et testostérone gouvernent les administrés. Surtout depuis que le futur shérif a été assassiné et remplacé aux poings levés par un héros musclé interprété par Anthony Starr, qui emprunte autant au Clint spaghetti qu’au dragon Bruce. La série écrite par deux romanciers américains, Jonathan Tropper et David Schickler, et produite par Alan Ball (“True Blood” et “Six Feet Under”) joue le best of pour sa B.O., de Offspring à Brodinski, de Drake au Bauhaus, de Jude à Boo Boo Davis. Un fourre-tout réjouissant, comme cette Banshee très « pulpée”.

“Banshee”, tous les mercredis à 20h50, sur Canal+ Séries (saison 2).

Playlist ezik #78 : Guetta out ?

Ceci est un post people. Mais que va devenir David Guetta sans Cathy Guetta (le mec blond qui l’accompagnait partout depuis vingt ans) ? Car oui, on vient de l’apprendre, le couple le plus tenace de la mégadance mondiale n’est plus, les Guetta auraient divorcé il y a quelques jours (selon l’immense Voici). Donc quid de David ? Pour les câlins sur la platine, il pourra toujours sonner chez Kelly, Jessie, Nicki, Riri, Estelle ou Sia… toutes ces filles qui lui doivent un tube ces dernières années. Pour la musique, le recordman de followers sur Spotify serait en train de travailler avec Giorgio Moroder. There will be blood on the dancefloor… Si le cœur vous en dit, écoutez la story de Guetta, de “Love Don’t Let Me Go” (2002) à “Bad” feat. Showtek & Vassy (2014), avec des samples trop la honte (“Shot Me Down”), du coin-coin (“Metropolis”), du featuring de bombasse (“When Love Takes Over”, “Who’s That Chick”) ou de rappeur (“Memories”, “Sexy Bitch”) et un remix qui tache (“Alive”).

Attention, Guetta fera tatapoum le 8 juin au festival Papillons de nuit, Saint-Laurent de Cuves (50), le 6 juillet au Main Square festival à Arras (62) et le 8 août aux Arènes de Nïmes